TOYS
Les Parisiens Paul Prier et Bastien Doremus ont travaillé leur touche avec acharnement : une énergie sans faille, bourrée de synthés et de mélodies pop, sur fond de rythmiques crades. Une musique savante, synthèse de toutes ces influences qui les ont nourris depuis l’enfance. Leur nom, TOYS, fait référence aux deux gamins qu’ils redeviennent quand ils tripatouillent leurs machines dans leur studio
Mais ces deux geeks du son sont avant tout au service de la mélodie. Il y a d’abord le single « Noise », tête de liste de la compilation Kitsuné Parisien 3, odyssée du fond de la nuit, bourrée d’interférences urbaines, suintant les trottoirs parisiens.
Puis viendra le fameux « Hey Boy », petit bijoux électronique aux accents soulfull et plongé dans une brume urbaine qui sera habilement mis en image par le jeune réalisateur Louis De Caunes à travers les rues de New York.
TOYS en a sous le coude, et multiplie les remixes de Two Door Cinema Club à Breton en passant par Lescop ou François & the Atlas Mountain. Ils peuvent compter aussi sur la collaboration de Pierrick Devin (Cassius, Adam Kesher, Phoenix). Autant de preuves que TOYS sait s’entourer pour frapper fort.
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Mais ces deux geeks du son sont avant tout au service de la mélodie. Il y a d’abord le single « Noise », tête de liste de la compilation Kitsuné Parisien 3, odyssée du fond de la nuit, bourrée d’interférences urbaines, suintant les trottoirs parisiens.
Puis viendra le fameux « Hey Boy », petit bijoux électronique aux accents soulfull et plongé dans une brume urbaine qui sera habilement mis en image par le jeune réalisateur Louis De Caunes à travers les rues de New York.
TOYS en a sous le coude, et multiplie les remixes de Two Door Cinema Club à Breton en passant par Lescop ou François & the Atlas Mountain. Ils peuvent compter aussi sur la collaboration de Pierrick Devin (Cassius, Adam Kesher, Phoenix). Autant de preuves que TOYS sait s’entourer pour frapper fort.
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